C’est là que j’ai rencontré le Dien Chan, cette méthode de réflexologie faciale vietnamienne. En quelques séances, j’ai ressenti un soulagement profond, une reconnexion à moi-même. Ce n’était pas juste un soin. C’était une révélation.

J’ai alors décidé de retourner à mes racines. À Ho Chi Minh Ville, je me suis formée auprès des héritiers du créateur de cette méthode, puis du Professeur Bùi Quôc Châu lui-même. Et depuis, je n’ai cessé de me former, d’approfondir, de transmettre — avec le même désir : accompagner celles et ceux qui, comme moi, ont connu l’épuisement, la douleur ou la perte de repères.

Aujourd’hui, je reçois des femmes, des hommes, des enfants, des personnes âgées. Des personnes en quête d’un soulagement, d’une écoute sincère, d’un apaisement durable.
Je les accompagne dans les troubles émotionnels, les douleurs chroniques, les déséquilibres digestifs, hormonaux, nerveux ou circulatoires… avec douceur, précision, et une profonde bienveillance.

Je travaille avec des outils naturels — le Dien Chan, les huiles essentielles, la kinésiologie douce — mais surtout avec une présence authentique.

Car je sais ce que c’est que de ne plus se sentir aligné, ni dans son corps, ni dans sa vie.